lundi 26 février 2018

Nouveau !

Donnez OU Vendez





Pour vous, utilisateurs du site LibérezVosJouets.com et pour ceux qui nous rejoindront à partir d’aujourd’hui, une toute nouvelle possibilité s’offre à vous.

En effet, beaucoup d’entre vous ont l’habitude de donner des jouets mais aussi d’en vendre.

Pour faciliter vos échanges vous pouvez dès aujourd’hui DONNER mais aussi VENDRE sur la même plateforme.

 Pour ce faire, rien de plus simple. Il vous suffit d’inclure un prix à votre annonce. Pour le reste, rien ne change. Vos transactions se feront par échanges téléphoniques ou par mails.

Pensez à préciser dans votre annonce s'il s'agit d'un DON ou d'une VENTE.


N’hésitez pas à parler de cet nouveau service autour de vous.


Merci pour votre fidélité et à bientôt sur LibérezVosJouets.com

mercredi 14 février 2018

Les vaccins obligatoires ? Je ne comprends pas !

Onze vaccins obligatoires depuis ler janvier 2018 !!! ONZE !!!


Vous êtes forcément d'accord avec moi, ça mérite des explications.

Alors, on va essayer de comprendre ensemble en répondant à quelques questions que beaucoup se posent sur ces vaccins.

Quels vaccins ?

Ce sont huit vaccins qui vont s'ajouter aux 3 qui étaient obligatoires jusqu'à aujourd'hui. Oui, huit !
Quels sont-ils ? 
Ceux qui étaient obligatoires sont : la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite.

Les huit autres sont : la coqueluche, l'hépatite B, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l'Haemophilus influenzae de type B, le pneumocoque et le méningocoque C. 
Les trois derniers microbes étant responsables de graves méningites.
Cette nouvelle disposition concerne uniquement les enfants nés en 2018. De plus, ces nouveaux vaccins obligatoires étaient déjà conseillés auparavant.

Pourquoi ces vaccins deviennent-ils obligatoires ?

Tout simplement parce que les vaccins obligatoires ont permis d'éradiquer certaines maladies sur le sol français. Et franchement, on ne va pas s'en plaindre. Honnêtement, nous sommes bien contents de ne plus nous demander si notre enfant va mourir du tétanos ou va attraper la polio. Les vaccins ont donc ceci pour eux : ils permettent d'éliminer centaines maladies du champ de vision des parents. Et si comme moi vous êtes plutôt phobique pour tout ce qui ressemble de près ou de loin à une maladie mortelle, c'est tout de même rassurant de savoir que nous pouvons protéger nos enfants de ces affections.

Le vaccin permet également qu'une certaine maladie ne se transforme pas en épidémie nationale. En effet, une rougeole, par exemple, est très contagieuse. Bien plus que la grippe. Si un enfant l'attrape il peut donc contaminer des milliers d'enfants qui ne seraient pas vaccinés. Les vaccins ont donc une certaine utilité (attention je ne suis pas en train de les promouvoir, j'essaie juste de rester objective).

Mais pourquoi obligatoires ?

C'est une question légitime. Chaque parent est capable de décider si oui ou non il veut que son enfant soit vacciné. Oui mais voilà, il y a de plus en plus de parents qui se méfient des vaccins et qui ont peur de l'effet qu'ils pourraient avoir sur la santé de leurs bambins. Le ministre de la Santé souhaite, par cette mesure couper court à toute polémique.

Combien d'injections vont-ils représenter ?

La bonne nouvelle, c'est que les vaccins ne vont pas se faire séparément. Onze piqûres ça fait beaucoup ! 
Les bébés auront trois injections de formules regroupant les différents vaccins commercialisés sous le nom d'Hexyon ou d'Infranrix Hexa. Elles auront lieu à 2,4 et 11 mois. 
Pour le méningocoque C deux injections à 5 et 11 mois et pour la rougeole+oreillons+rubéole deux injections à 12 et 16 mois.

Retenons donc que nos enfants subiront 10 injections au total avant leurs 2 ans de 4 formules
différentes.

Jusqu'à maintenant on faisait comment ?
Les pédiatres ayant pris l'habitude de conseiller aux parents de faire ces vaccins, la plupart des parents ont fait faire ces injections à leurs petits. Seuls les parents réticents pouvaient en demander moins. Mais au minimum 4 (diphtérie, tétanos, polio et coqueluche réunis), ou cinq (avec Haemophilus influenzae)

Le système immunitaire de mon enfant va-t-il survivre à ce traitement ?

Dès la naissance, les enfants sont confrontés à des dizaines de milliards de bactéries et de virus qui vont coloniser leurs intestins pour former le microbiote. Les bébés doivent donc se défendre naturellement pour apprendre à tolérer ces germes avec lesquels ils vont devoir cohabiter. La capacité de leur système immunitaire à réagir face à de nouveaux antigènes est infinie. Nous pouvons donc nous rassurer. De plus, les vaccins à bases de toxines ou d'agents inactivés sont injectés uniquement à partir de 12 mois

Et si je refuse ?

Notre enfant ne sera pas admis en crèche, ni dans une autre collectivité. Nous aurons trois mois après l'inscription pour vacciner nos enfants. La non-soumission à cette mesure pourra entraîner l'exclusion de l'enfant.

Est-ce plus clair pour vous ? 


lundi 12 février 2018

Que faire pendant les vacances d'hiver ?

Qu'avez-vous prévu de faire avec vos enfants pendant les vacances ? 

Si comme nous, vous ne partez pas, voici une petite liste d'idées pour occupés ceux qui ont toujours beaucoup d’énergie.

Parce que si, quand il pleut, nous adultes, nous aimons rester au chaud tranquilles et dans le calme, nos bambins eux n'ont que faire du mauvais temps... Ce qu'ils veulent c'est courir, bouger, jouer, bref profiter de leur temps libre.

Si nous avons des petits sportif 

  • On l'a dit plus haut, nous n'avons pas prévu de partir au ski cette année. Mais voilà, notre enfant qui aime le sport a envie de se dépenser. 

En ce mois de février, il fait encore froid, le temps est gris voire pluvieux. Hors de question de partir pour une séance de foot en plein air !
Pourquoi ne pas opter pour une ou deux sorties à la patinoire s'il y en a une prés de chez nous ? 
L'avantage de cette activité c'est que nous pourrons facilement y participer avec notre enfant et, j'en suis sûre, y trouver beaucoup de plaisir. 
  •  Une autre forme d'activité qui défoule : la danse !
Et pour celle-ci pas besoin de sortir...
On pousse les meubles du salon, on met la musique à fond et on laisse son corps s'exprimer. cette activité aussi peut-être un vrai source de plaisir et d'amusement. 

Si nos enfants aiment plutôt faire travailler leur méninges

  • Connaissez-vous les escape-game ?
En général, on y joue sur nos tablettes ou téléphones. Mais depuis quelques temps, nous pouvons retrouver ce jeu en grandeur nature. 
Le principe : nous échapper en une heure et pas une minute de plus. Pour cela, il nous faudra résoudre des énigmes tout en faisant preuve d'une grande persévérance. 
Il en existe deux sur Valence :
CLOSED ESCAPE GAME et THE CASE

  • Plus traditionnellement, nous pouvons également ressortir les jeux de société et passer un moment à jouer avec nos enfants.
 Cette activité est très enrichissante car elle peut permettre d'augmenter leur culture et connaissance générale. Il existe aussi des jeux de société conçus spécialement pour nous permettre d'apprendre une langue.


Si vous avez des petits cuisiniers en herbe

Il existe des ateliers de cuisine à faire avec nos enfants.
La chaîne France 5 a également consacré une émission aux cours de cuisine pour enfants. Vous pouvez retrouver le lien ICI
.
Dans le même esprit, nous pouvons décider de pratiquer une autre forme de cuisine avec nos petits, sous forme d'expériences scientifiques.
Bien que rien ne se mange, les enfants raffolent de ce genre d'activité qui leur permet d'apprendre tout en s'amusant. Nous pouvons retrouver toute une série d'expériences à faire à la maison sur le site KIDI'SCIENCE


Sans oublier toutes les activités manuelles et créative telles que :

  • La pâte à modeler
  • La pâte à sel
  • Le tricotin
  • Les puzzles
  • Le coloriages
  • La peinture
  • ...
Et vous, quelles activités pensez-vous faire avec vos enfants ?


jeudi 8 février 2018

Mon enfant en colère.

Un non et mon enfant se met en colère. Comment réagir ? 


Bien des parents sont démunis et opteraient bien vite pour une bonne fessée. Oui mais voilà ! La fessée est interdite depuis peu et franchement, ça n'est pas la meilleure solution (même si des fois c'est vraiment tentant).

Il faut dire que tout se complique réellement lorsque votre chère tête d'ange désobéit souvent, pleure à la moindre contrariété ou pire entre en crise de nerfs incontrôlables dès que vous lui dites non. On avouera aisément que dans cette situation on peut tous facilement perdre patience.


                               Alors que faire ?

1. Une des premières choses à faire est de se rappeler qui est l'adulte. En effet, de nous deux (parent/enfant) c'est nous, le parent, qui sommes le plus à même de maîtriser nos émotions. 

Notre enfant lui est en phase d'apprentissage. Il apprend à marcher, à parler, à manger... Mais aussi à exprimer ses émotions et à les contrôler. Selon l'âge de notre petit bambin, il n'a pas encore toutes les cartes pour exprimer ce qu'il ressent avec calme (en supposant qu'il sait ce qu'il ressent) ni à contrôler cette même émotion. 

2. Ne pas répondre par la colère mais ramener l'enfant au calme.
Je vous l'accorde cette étape est très difficile. Il faut pour cela une bonne dose de patience pour réussir à ré freiner notre propre agacement et rester calme.

Une des meilleures solutions est de nous séparer un moment. L'enfant va dans sa chambre retrouver son calme, ainsi nous pouvons nous aussi reprendre nos esprits.

3. Une fois que le calme est revenu, il est important (pour que l'enfant apprenne) de mettre des mots sur ce qui vient de se passer. Ainsi il pourra se comprendre et nous comprendre.                                  

                                  

                               


                                        Comment procéder ? 


Parlons objectivement de la situation et mettons des mots sur l'émotion que l'enfant à ressentit. Ainsi, il pourra associer le sentiment à l'émotion dans le futur.
S'il y a des règles qui ont été enfreint, c'est le moment de les rappeler. En douceur et sans énervement pour éviter de retomber dans la colère.
Ensuite, nous pouvons inciter notre petite tête blonde à trouver une solution pour adopter un meilleur comportement pour la prochaine fois.  Bien sûr, en fonction de son âge nous allons plus ou moins l'aiguillonner. 


Et vous, quelles astuces avez-vous trouvé pour faire face à la colère de vos petits ? 





mardi 6 février 2018

La force de l'exemple !

Comme moi, vous qui êtes parents, vous avez surement déjà regardé votre enfant avec cet air désespéré de la mère qui ne comprend pas pourquoi son enfant ne se résigne pas à abandonner cet comportement que vous avez pourtant maintes fois sanctionnée !

Et si vous y étiez pour quelque chose !

  " Comment ça se serait de ma faute ? Moi qui fais tout pour élever correctement mes enfants, je leur apprends les bonnes manières, je les punis, etc... "

Réaction classique... j'ai la même !

Mais voilà, force est de constater que ce qu'observe l'enfant au quotidien a une forte influence sur lui et sa façon de réagir à ce que nous lui disons.


  L'EXEMPLE 


C'est un mot que l'on connaît bien. On l'utilisera même dans notre éducation :

" Bastien, montre l'exemple à ton petit frère..."
"Bastien, arrête, tu montres le mauvais exemple..."
"Conduis-toi de façon exemplaire..."

                                        

                                                         Ça y est, ça vous parle... 


Alors, le but de cet article n'est pas de nous jeter des pierres et de nous culpabiliser (je dis nous parce qu'on est tous dans le même panier).  Il est plutôt de mettre le doigt sur un élément de l'éducation que nous avons tous naturellement tendance à minimiser : l'exemple.

La seule manière intelligente d’éduquer consiste à être soi-même un exemple.
                                                      Albert Einstein (de moi ça aurait été étonnant)
Un homme intelligent qui avait compris que l'éducation passe d’abord par l'exemple. 

Parce que c'est bel et bien à l'adulte de donner à l'enfant des repères dans lesquels il va pouvoir puiser pour devenir un adulte sociable et responsable.

Vous avez certainement déjà dit à votre enfant :

             Tu grandis et tu dois devenir un adulte responsable... (moi aussi je le dis) 

Cette phrase aura une efficacité totale si l'enfant, en observant l'adulte, trouve de quoi se construire en adulte responsable. Sinon, on risque de lui renvoyer une mauvaise image de ce que c'est que d'être un homme ou une femme.

En effet, ce serait se voiler la face de penser que lorsque nous disons à notre enfant qu'il ne pourra pas passer son temps à jouer aux jeux vidéo quand il sera grand (alors qu'il nous voit à longueur de journée sur notre tablette en train de jouer à Candy Chrush) qu'il va nous croire sur parole...

La sociabilisation de l'enfant se fera aussi par le biais de nos propres relations aux autres. 

C'est en nous regardant que notre progéniture va se construire une vie sociale. Heureusement (ou malheureusement quelques fois) il observe aussi tous les autres adultes qui l'entourent et il pioche dans ce qui lui convient le mieux et peut-être aussi là où il y trouve son avantage... (ils sont malins quand même) 

Une autre preuve que nous ne pouvons pas passer à coté de l'exemplarité est cette expression toute simple mais qui veut tout dire :

                           Tel père, Tel fils...

Bon ou mauvais exemple, nos enfants nous regardent et nous imitent... Malgré nous...

Alors faisons tout ce que nous pouvons pour montrer l'exemple et le bon !

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